A. Le fémur et le cotyle
B. Le fémur et le tibia
C. Le fémur et le péroné
D. Le tibia et la fibula
E. Le péroné et la fibula

A. Une lésion traumatique osseuse avec élongation
B. Une lésion traumatique touchant uniquement l’os long
C. Une solution de continuité osseuse avec une ouverture cutanée
D. Une absence de solution de continuité osseuse
E. Aucune de ces réponses

A. Une paralysie du deltoïde
B. Une absence de fracture du col huméral
C. Une atteinte du nerf circonflexe
D. Une atteinte du ligament croisé postérieur
E. Une absence totale de consolidation d’une fracture à partir de 6 mois

A. L’ostéonécrose de la tête fémorale
B. La luxation de hanche
C. L’infection
D. L’embolie graisseuse
E. Le syndrome des loges

A. 0
B. 5
C. 10
D. 15
E. 20

A. Le doppler
B. L’artériographie
C. Le scanner corps entier
D. L’IRM (imagerie par résonance magnétique)
E. La radiographie pulmonaire

A. Est une complication du syndrome des loges
B. Concerne uniquement le membre inférieur
C. Est réversible
D. Est la conséquence d’une écoute prolongée à volume élevé
E. Est la manifestation clinique des conséquences ischémiques au niveau d’un os

A. Des pupilles symétriques et réactives
B. Une désorientation temporo-spatiale
C. Un score de Glasgow à 15
D. Une otorragie
E. Une épistaxis

A. Collection de sang entre la dure mère et la boîte crânienne
B. Collection de sang entre la dure mère et l’arachnoïde
C. Mode d’installation progressif avec un intervalle libre
D. Absence de trouble de la vigilance
E. Présente de signes semblables à ceux de la méningite mais sans fièvre

A. Hématome sous dural
B. Contusion cérébrale
C. Contusion musculaire
D. Ecchymoses
E. Embolie pulmonaire

A. Membre en rotation externe
B. Membre raccourci
C. Membre en abduction
D. Impotence fonctionnelle
E. Hyperthermie

A. C’est une fracture de la cheville
B. Elle présente une déformation dite en baïonnette
C. Elle nécessite une amputation
D. Elle nécessite de retirer bagues et alliance
E. Tout de suite après la blessure, la victime doit se laver les mains

A. Se caractérisent par la perte incomplète des rapports normaux d’une articulation
B. Touchent plus fréquemment l’articulation coxo-fémorale
C. Exposent aux risques de compressions vasculaires et nerveuses
D. Ne nécessitent pas d’être systématiquement traitées
E. Une immobilisation « coude au corps » participe, après réduction, au traitement d’une luxation de l’épaule

A. Il s’agit de mettre au repos le membre blessé
B. Il s’agit de réchauffer le membre blessé
C. Il s’agit de glacer le membre blessé
D. Il s’agit de réaliser une compression du membre blessé
E. Il s’agit d’élever au zénith le membre blessé

A. Elle est fréquente chez les personnes âgées
B. Elle peut être immobilisée par un Dujarrier
C. Elle peut se traiter par la pose d’un clou centromédullaire
D. C’est une fracture bénigne
E. C’est une fracture rencontrée dans les accidents de la voie publique à haute cinétique

A. Elle peut mâcher du chewing gum
B. Elle peut boire de l’eau
C. Elle ne doit pas fumer
D. Elle peut conserver son vernis à ongles
E. Elle doit appeler l’infirmière si elle souhaite se lever

A. Se dit d’un patient qui se lève de son lit la première fois après une chirurgie ou après un alitement prolongé
B. Se dit d’un patient qui se lève de son lit pour la première fois chaque matin
C. Est un soin infirmier
D. Est un soin qui peut être confié à l’aide -soignante
E. Est un soin qui nécessite toujours 2 soignants

A. Est mis systématiquement lors d’une chirurgie du membre inférieur
B. Ne présente pas de risque pour le patient
C. Représente une porte d’entrée pour l’infection
D. Contraint le patient à un repos strict au lit
E. Favorise la cicatrisation en évacuant les sécrétions séreuses, hématiques ou purulentes

A. Monter les escaliers jambe droite en 1er
B. Monter les escaliers jambe gauche en 1er
C. S’asseoir dans un fauteuil mou et confortable
D. S’asseoir sur une chaise
E. S’accroupir pour ramasser un objet au sol

A. Prévient les tensions cicatricielles
B. Diminue le risque infectieux
C. Diminue le risque hémorragique
D. Maintien la stabilité du volume et de la forme du moignon
E. Gêne la mise en place de la prothèse

A. Correspondent à la visualisation du membre amputé
B. Durent seulement 6 mois
C. Elles touchent 1/3 des nouveaux amputés
D. Se nomment aussi algohallucinose
E. Sont parfois résistantes aux traitements antalgiques usuels

A. La cinétique au moment de l’accident
B. La météo
C. L’heure de l’accident
D. L’éjection du véhicule
E. L’âge de la victime entre 20 et 40 ans

A. Un patient qui présente plusieurs fractures osseuses
B. Un patient qui présente un organe multi fracturé
C. Un patient qui présente une lésion pouvant engager son pronostic vital
D. Un patient qui présente plusieurs lésions dont une au moins engage son pronostic vital
E. Un patient qui présente une fracture diaphysaire fémorale et une fracture de la 3ème vertèbre cervicale

A. Commence sur le lieu de l’accident
B. Conditionnement à l’aide d’un collier cervical et d’un matelas à dépression
C. Evacuation de la victime par hélicoptère
D. Conditionnement et évacuation les plus rapides possible, le bilan clinique est fait uniquement à l’hôpital
E. Toujours effectuée par les pompiers

A. La radiographie de hanche est réalisée en 1ère intention
B. L’arthroplastie de hanche consiste à poser un clou centromédullaire
C. La survenue d’une pseudarthrose est fréquente
D. Le risque de luxation des prothèses de hanche est plus important dans les 3 premiers mois post-opératoires
E. La fracture de l’extrémité supérieure du fémur comporte un risque hémorragique majeur

A. Laver la plaie à l’eau et au savon permet d’éliminer d’éventuels corps étrangers
B. Laver la plaie à l’eau et au savon permet de diminuer le risque d’infection de la plaie
C. Retirer bagues et alliance est inutile
D. La vaccination contre la grippe est systématique
E. Le syndrome des loges complique toujours une plaie de l’avant-bras