Cancer du côlon rectum, 2024 sur santepubliquefrance.fr
Cancers du côlon : les points clés, 2023 sur e-cancer.fr
Cours IFSI
Guide pratique infirmier, Léon Perlemuter, Gabriel Perlemuter, 2020, Elsevier Masson
Mémento 100% visuel des pathologies, Anne Barrau, 2021, Vuibert
Mon stage infirmier en hépato-gastro entérologie, Axel Balian, 2022, Elsevier Masson
Mis à jour le 26/03/2024
Le cancer colorectal est le 3e cancer le plus fréquent chez l’homme après ceux de la prostate et du poumon. Et c’est le 2e cancer le plus fréquent chez la femme après celui du sein.
Il touche chaque année environ 47 000 personnes par an et est responsable de 17 000 décès par an en France.
Le cancer se développe à partir des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon. Les cellules se multiplient de façon anarchique jusqu’à former une tumeur maligne.
Dans 80 % des cas, les cancers du côlon se développent à partir d’une tumeur bénigne, c’est-à-dire non cancéreuse. Elle est appelée polype adénomateux ou adénome. 2 à 3% de ces tumeurs bénignes finissent par se transformer en cancer.
Âge > 50 ans
Maladie de Crohn
Rectocolite hémorragique
Polypose adénomateuse familiale
Syndrome de Lynch
Habitudes de vie
Antécédents
Souvent asymptomatique lorsqu’il est décelé à l’occasion d’une campagne de dépistage.
Signes évocateurs :
Examen clinique +/- toucher rectal
Coloscopie avec biopsies
Scanner thoraco-abdomino-pelvien
Écho-endoscopie, IRM rectale
Dosage de l’ACE (antigène carcino-embryonnaire)
PET Scan à la recherche de métastases
Complications
Pronostic
Population cible : patient asymptomatique de 50 à 74 ans
Découverte de saignement occulte dans les selles : si positif = coloscopie
Test de dépistage répété tous les 2 ans
Le traitement varie en fonction du stade de la maladie, de l’âge et de l’état général du patient.
La prise en charge est déterminée lors d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP).
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Parmi les propositions suivantes concernant le cancer colorectal, lesquelles sont vraies ?
Quels sont les facteurs de risque du cancer colorectal ?
Quels peuvent être les signes évocateurs du cancer colorectal ?
Parmi les facteurs de risque reconnus de cancer colorectal, on note que : (4 réponses exactes) (Février 2016 – Université Paris Sud)
Dans le cadre de la prise en charge d’un cancer colorectal (4 réponses exactes) : (Février 2016 – Université Paris Sud)
Parmi les propositions suivantes concernant le facteur de risque du cancer colorectal, cochez la réponse exacte : (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Parmi les propositions suivantes concernant l’âge du premier dépistage de masse du cancer colorectal, cochez la réponse exacte : (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Parmi les propositions suivantes concernant la fréquence du dépistage de masse du cancer colorectal, cochez la réponse exacte. Il a lieu : (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Parmi les propositions suivantes concernant l’examen diagnostic du cancer colorectal, cochez la réponse exacte : (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Concernant les facteurs de risque de développement de cancer colorectal (2 réponses) : (Mai 2019 – Université Paris Sud)
Les symptômes révélateurs du cancer colique peuvent être (3 réponses) : (Mai 2019 – Université Paris Sud)
Le cancer colorectal (3 réponses) : (Janvier 2023 – Université Paris Saclay)
Le cancer colorectal est le 3e cancer le plus fréquent chez l’homme après ceux de la prostate et du poumon. Et c’est le 2e cancer le plus fréquent chez la femme après celui du sein.
Il touche chaque année environ 47 000 personnes par an et est responsable de 17 000 décès par an en France.
Le cancer se développe à partir des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon. Les cellules se multiplient de façon anarchique jusqu’à former une tumeur maligne.
Dans 80 % des cas, les cancers du côlon se développent à partir d’une tumeur bénigne, c’est-à-dire non cancéreuse. Elle est appelée polype adénomateux ou adénome. 2 à 3% de ces tumeurs bénignes finissent par se transformer en cancer.
Âge > 50 ans
Maladie de Crohn
Rectocolite hémorragique
Polypose adénomateuse familiale
Syndrome de Lynch
Habitudes de vie
Antécédents
Souvent asymptomatique lorsqu’il est décelé à l’occasion d’une campagne de dépistage.
Signes évocateurs :
Examen clinique +/- toucher rectal
Coloscopie avec biopsies
Scanner thoraco-abdomino-pelvien
Écho-endoscopie, IRM rectale
Dosage de l’ACE (antigène carcino-embryonnaire)
PET Scan à la recherche de métastases
Complications
Pronostic
Population cible : patient asymptomatique de 50 à 74 ans
Découverte de saignement occulte dans les selles : si positif = coloscopie
Test de dépistage répété tous les 2 ans
Le traitement varie en fonction du stade de la maladie, de l’âge et de l’état général du patient.
La prise en charge est déterminée lors d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP).
Sources:
Mis à jour le 26/03/2024
Auteur : Julie VIOLET
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