UE 2.11.S5 – Pharmacologie et thérapeutiques
Université Paris Descartes (75)
Février 2016

Correction

Question 1: C

 

Question 2: D

 

Question 3: C

 

Question 4: C

 

Question 5: E

 

Question 6: C

 

Question 7: D

 

Question 8: C

 

Question 9: E

 

Question 10: E

 

Question 11: A

 

Question 12: C

 

Question 13: C

 

Question 14: E

 

Question 15: A

 

Question 16: E

 

Question 17: A

 

Question 18: B

 

Question 19: D

 

Question 20: C

 

Question 21: E

 

Question 22: B

 

Question 23: E

 

Question 24: B

 

 

Situation clinique n°1

1). Siège de la douleur / intensité et caractéristique de la douleur / durée de la douleur / résistance au paracétamol ⇒ suspicion de syndrome coronarien (IDM ?) c’est une urgence car si la suspicion se confirme, le patient peut décompenser à tout moment et faire un arrêt cardiaque

 

2). S’assurer qu’il n’est pas allergique à la morphine, s’assurer de son consentement à être traité par morphine

 

3). a) Volume d’héparine à prélever :
25 000 UI dans 5 ml
17 000 UI dans X ml
= (17 000 x 5) / 25 000
= 3,4 ml

 

b) Heure de fin de perfusion :
D’abord je calcule la durée de perfusion de cette 1ère seringue avec prolongateur purgé. Volume restant dans la seringue à la mise en route du PSE :
V total – V de purge, soit 36 – 2 = 34 mL
Le débit étant de 3 mL /h, la durée de perfusion (D)sera : 3 mL en 1 heure
34 mL en X heures, soit D = 34/3 = 11,33 heures
1 h = 60 min, donc 0,33 h = 0,33 x 60 = 19,8 min soit ≈ 20 min
La seringue a été installée à 9h45 et sa perfusion se terminera dans 11heures et 20 min.
Heure de fin de perfusion : 9h45 + 11h20 = 21h05
Cette seringue se terminera donc à 21h05

 

Situation clinique n°2

a) Les soins suivants peuvent être effectués par Gaspard :

  • Montage du matériel d’oxygénothérapie
  • Prise des paramètres vitaux
  • Participation à la surveillance clinique du patient

 

b) L’acte réalisé par l’AS dans le cadre de la collaboration doit relever du rôle propre de l’infirmier-re

 

c) L’AS est responsable de ses actes mais l’infirmière doit s’assurer que l’AS a les connaissances nécessaires à la mise en oeuvre de ces soins, du fait de sa formation initiale et continue et du diplôme obtenu et contrôler la qualité de l’exécution des actes de soins et est aussi responsable de ce qu’aura fait l’AS

 

 


Source: Université Paris Descartes