Février 2019 – Université Paris Sud (75)

A. Une vascularite
B. L’athérosclérose
C. Une thrombophlébite cérébrale
D. Un anévrisme intracrânien
E. Une thrombose artérielle

A. Il correspond à un déficit neurologique transitoire le plus souvent de moins de 1 heure
B. Les imageries cérébrales permettent de confirmer le diagnostic
C. Le diagnostic ne repose que sur l’interrogatoire
D. Il nécessite un bilan en urgence
E. Il est associé à un risque élevé d’accident ischémique constitué

A. L’embolie d’origine cardiaque
B. L’athérosclérose
C. La dissection artérielle
D. La micro-angiopathie
E. L’infarctus du myocarde

A. L’hypertension artérielle
B. L’insuffisance cardiaque
C. Le diabète
D. Le sexe féminin
E. Le tabac

A. De la vésicule biliaire
B. De la vessie
C. Du pancréas
D. Des voies biliaires
E. Du duodénum

A. Elle est principalement due au tabac
B. Elle se manifeste par un trouble ventilatoire obstructif réversible
C. Elle se manifeste par un trouble ventilatoire restrictif non réversible
D. Elle est responsable d’environ 15 000 décès par an en France
E. Elle peut être responsable d’une insuffisance respiratoire chronique obstructive

A. La kinésithérapie respiratoire
B. L’administration de corticoïdes par voie générale
C. L’administration d’antibiotiques
D. Les aérosols de bronchodilatateurs
E. L’administration d’anticoagulants

A. La kinésithérapie respiratoire
B. La corticothérapie inhalée
C. Le traitement des épisodes de surinfection bronchique par antibiotiques
D. Le régime sans sel
E. La corticothérapie par voie générale

A. La tension artérielle
B. La glycémie
C. Les troubles de la déglutition
D. Les réflexes ostéo-tendineux
E. Les troubles de la mémoire

A. La diarrhée
B. L’arrêt des matières et des gaz
C. Le météorisme abdominal
D. L’ictère
E. La rectorragie

A. Le diabète
B. La lithiase biliaire
C. Le tabac
D. L’alcool
E. Le surpoids

A. L’insuffisance rénale
B. La pancréatite
C. L’accident vasculaire cérébral
D. Le diabète
E. L’insuffisance cardiaque

A. Elle doit être mesurée en position assise après 5 minutes de repos
B. Elle doit être mesurée en position couchée après 5 minutes de repos
C. La taille du brassard doit être adaptée à la corpulence
D. Le stéthoscope doit être placé sur le cœur
E. Elle doit être mesurée à distance des conditions qui font varier la tension

A. L’apparition brutale de la douleur
B. L’anurie
C. L’ictère
D. Les vomissements
E. La fièvre

A. Irréductibilité de la hernie
B. Hernie non douloureuse à la palpation
C. Rectorragies
D. Hernie expansive à la toux
E. Diarrhée

A. L’électrocardiogramme de repos est normal
B. L’électrocardiogramme d’effort peut être anormal
C. La douleur survient au repos
D. La coronarographie est normale
E. La troponinémie est élevée

A. Rassurer le malade et le laisser rentrer chez lui
B. Hospitaliser le malade en milieu chirurgical
C. Mettre une sonde nasogastrique
D. Surveiller le malade, prendre les constantes et réaliser le bilan nécessaire
E. Hydrater le malade par voie orale

A. L’électrocardiogramme est toujours normal
B. Elle correspond à une inflammation du myocarde
C. La radiographie de thorax est le plus souvent normale
D. Elle nécessite dans tous les cas la réalisation d’une coronarographie
E. La troponinémie est toujours élevée

A. Un déficit moteur de l’hémicorps droit chez un patient droitier
B. Une atteinte du champ visuel
C. Des troubles du langage
D. Un élément du syndrome cérébelleux
E. Une atteinte des cordes vocales

A. Une douleur sus-pubienne
B. Une agitation
C. Une hyperthermie
D. Une confusion
E. Un arrêt des matières et des gaz

A. Une élévation des D-dimères
B. Une phlébite associée
C. Une hypotension artérielle
D. Une douleur thoracique
E. Une dyspnée

A. Un traitement par aspirine
B. Un traitement anticoagulant
C. Un traitement antibiotique
D. Un traitement par fibrinolyse
E. Un régime sans sel

A. Œdèmes des membres inférieurs
B. Arythmie
C. Râles crépitants à l’auscultation pulmonaire
D. Douleurs à la palpation du foie
E. Épanchement pleural bilatéral

A. Un traitement ambulatoire
B. Un traitement antalgique adapté à l’échelle de la douleur
C. Une évaluation de la gravité par la réalisation d’un scanner abdominal dans les 48 à 72 premières heures d’hospitalisation
D. Un régime hypercalorique
E. Un traitement endoscopique en cas de pancréatite alcoolique

En se levant de son fauteuil, M. B a chuté sans perte de connaissance, avec l’apparition brutale d’une hémiplégie gauche, d’une hémi hypoesthésie gauche et d’une douleur thoracique. Son épouse alerte le SAMU.

M. B, 75 ans, est transféré en unité de soins intensifs neuro vasculaire (USINV) pour la prise en charge d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Avant l’incident, M. B était dynamique, autonome et profitait de sa retraite pour voyager avec son épouse. Dans ses antécédents, nous retrouvons :

• Une hypercholestérolémie,
• Un infarctus du myocarde en 2017.

A son arrivée dans l’unité, M. B. réalise une IRM cérébrale qui confirme le diagnostic d’AVC sylvien droit sur l’occlusion de l’artère cérébrale moyenne droite. Les médecins décident d’une thrombolyse par voie intraveineuse.

A. Hémiplégie
B. Troubles visuels
C. Aphasie
D. Douleur thoracique
E. Hypoesthésie

A. L’état cutané
B. L’état de conscience
C. La force et la mobilité des membres
D. L’équilibre alimentaire
E. Les réflexes pupillaires

A. Matelas anti-escarre
B. Agencement de l’environnement à gauche
C. Position en décubitus dorsal
D. Bras hémiplégique surélevé et en abduction
E. Maintien des pieds à angle droit

A. Mesure régulière de la pression artérielle pendant le traitement thrombotique
B. Surveillance de la glycémie capillaire horaire
C. Rééducation des membres inférieurs
D. Installation du patient au fauteuil
E. Surveillance de la mobilité des membres

A. Un déficit partiel de la force musculaire
B. Une paralysie d’une ou plusieurs parties du corps
C. Un trouble du langage
D. Une diminution ou une perte de la vision dans une moitié du champ visuel
E. Une diminution de la sensibilité de l’hémicorps gauche

A. Un antiagrégant plaquettaire
B. Un scanner cérébral mensuel
C. Des correcteurs des facteurs de risques cardiovasculaires
D. Une rééducation précoce
E. Un traitement antidépresseur

M. Y., âgé de 82 ans, est adressé aux urgences, par le médecin de l’EPHAD où il réside pour douleur abdominale importante d’apparition brutale.
Au service des urgences, l’examen clinique révèle un abdomen distendu, douloureux (Echelle numérique = 7/10). A l’auscultation, l’interne perçoit peu de bruits hydro- aériques. M.Y se plaint de nausées et a vomi deux fois ce matin. Il n’a pas eu de selles depuis 3 jours.

Les paramètres vitaux sont: Pression artérielle à 157/91 mm Hg; fréquence cardiaque à 110 bpm ; température à 37,2°C ; saturation en oxygène à 96% en air ambiant.

La prescription médicale est :

• A jeun strict
• Pose d’une voie veineuse périphérique
• Sérum glucosé à 5% 1L/24heures +4gNaCl/l +1.5gKCl/L
• Paracétamol (Perfalgan®/ Antalgique) 1gr x 4 par 24h en intra veineuse lente.
• Bilan sanguin : NFS, ionogramme, hémostase, bilan rénal, 2 déterminations de groupe sanguin et RAI
• Pose d’une sonde nasogastrique avec aspiration digestive à – 40 cm H2O
• Compensation de la sonde naso-gastrique, volume par volume, au-delà de 500cc par du Ringer Lactate® (soluté de remplissage)
• Surveillance pression artérielle, Pouls, T°, Echelle Numérique toutes les heures, diurèse
• Radiographie thoracique, scanner abdominal avec injection.
• ECG
• Consultation d’anesthésie en urgence

Le scanner abdominal montre une occlusion intestinale par volvulus du sigmoïde. Le chirurgien décide de programmer une coloscopie sous anesthésie générale en urgence.

Lors de la pose de la sonde naso-gastrique, vous recueillez un liquide marron avec présence de matières fécales.

A. Pied à perfusion
B. Manomètre à air
C. Manomètre à vide
D. Matériel pour coproculture
E. Urinal

A. La sténose
B. La strangulation
C. L’oblitération de la lumière colique
D. La compression
E. L’épaississement de la paroi du colon par présence de diverticules

A. Vérifier que la voie d’abord est fonctionnelle
B. Expliquer l’examen à M. Y
C. Mettre les résultats de l’urée/créatinine dans le dossier
D. Vérifier l’identité du patient
E. Mettre les résultats de TP/TCA dans le dossier

A. La fixation
B. La qualité du recueil
C. La dépression à -20 cmH20
D. La quantité du recueil
E. La position en déclive

A. Prévenir le choc hémorragique
B. Prévenir le choc hypovolémique
C. Réduire la douleur
D. Corriger les pertes hydro électrolytiques
E. Alimenter le patient

1. Réaliser une douche antiseptique la veille de l’examen
2. S’assurer que le patient est à jeun
3. S’assurer de l’identité du patient
4. Administrer un antalgique pallier I moins d’1 heure avant l’examen
5. Expliquer l’examen au patient
6. Vérifier la présence de RAI de moins de 48 jours dans le dossier
7. Poser une sonde urinaire
8. Administrer une prémédication sur prescription médicale
9. Vérifier la présence d’une hémostase récente dans le dossier
10. Demander au patient de boire la veille une préparation colique
11. Dépilation périnéale
12. Administrer un lavement évacuateur sur prescription médicale
13. Vérifier la présence d’un ECG dans le dossier

A. 1,2,4,5,7,8,10
B. 2,3,5,8,9,12,13
C. 1,3,6,7,10,11,13
D. 2,3,4,5,9,11,12
E. 4,5,6,7,11,12,13