Question 1 Les recommandations de la SFAR
A. Présentées en cours datent de 2017
B. Traitent uniquement de la prise en charge des patients présentant des traumatismes vertébraux
C. Traitent uniquement de la prise en charge des patients à risque de traumatismes médullaires
D. Traitent de la prise en charge des patients présentant ou à risque de traumatismes vertébro-médullaires
E. Précisent, entre autres, les modalités de filières de soins
Question 2Traumatisme du rachis : épidémiologie
A. L’incidence annuelle des traumatismes du rachis est inférieure à 1000 nouveaux cas par an
B. Les accidents du travail constituent la première cause des traumatismes du rachis
C. Les AVP représentent une faible part des traumatisés du rachis
D. Les patients AVP sont polytraumatisés
E. Les traumatismes isolés du rachis concernent le rachis cervical
Question 3 L’anatomie du rachis :
A. Le rachis est composé de 42 vertèbres
B. Le rachis cervical comporte 3 vertèbres notées de C1 à C3
C. Le rachis dorsal se nomme aussi rachis thoracique
D. Le rachis thoracique est composé des vertèbres T1 à T12
E. Le sacrum est la dernière vertèbre du rachis lombaire
Question 4 L’anatomie d’une vertèbre :
A. La structure indiquée par la flèche A est une structure ventrale
B. La flèche A indique le corps vertébral
C. La flèche B indique une structure dorsale
D. La flèche B indique la lame vertébrale
E. La flèche C indique le canal médullaire
Question 5 La moelle épinière :
A. S’étend du foramen magnum à L1
B. Est composée uniquement de nerfs sensitifs
C. Est composée uniquement de nerfs moteurs
D. Est composée de nerfs sensitifs et de nerfs moteurs
E. Se termine au niveau du cône médullaire
Question 6 Les lésions du segment antérieur concernent :
A. Le corps vertébral
B. Le pédoncule
C. Les facettes articulaires
D. Le disque
E. Le ligament vertébral
Question 7 Un choc spinal :
A. Correspond à l’abolition de tous les réflexes en dessous de la lésion médullaire
B. Correspond à une lésion médullaire complète
C. Est une lésion secondaire
D. Est accompagné d’une rétention d’urine et d’une atonie du sphincter anal
E. Se traduit par un syndrome de la queue de cheval
Question 8 La prise en charge d’un patient traumatisé du rachis nécessite :
A. Une prise en charge en urgence
B. Le maintien de l’axe tête-tronc par l’intermédiaire de l’immobilisation du rachis
C. Le contrôle de l’état hémodynamique et respiratoire
D. Une évaluation précise du niveau lésionnel par le score ASIA
E. Une orientation vers un centre spécialisé
Question 9 La prise en charge d’un patient traumatisé grave à l’hôpital :
A. Dans les services d’urgence, des protocoles sont établis de manière à prendre en charge de manière efficiente les patients traumatisés graves
B. Un patient traumatisé grave doit être pris en charge rapidement
C. Chez un patient traumatisé grave, l’examen clinique est très informatif
D. La prévention de l’hypothermie n’est pas une priorité chez un patient traumatisé grave
E. Il est nécessaire d’évaluer régulièrement la douleur du patient traumatisé grave
Question 10 L’hypothermie :
A. Est fréquente chez les patients traumatisés graves
B. Est un facteur difficilement corrigeable
C. Peut aggraver l’état du patient
D. Augmente entre autres, les pertes sanguines par son action sur la coagulation
E. Augmente l’oxygénation du sang
Question 11 La réanimation cardio-vasculaire d’un patient traumatisé grave :
A. La restauration de la volémie se fait à l’aide de solutés isotoniques
B. La restauration de la volémie se fait à l’aide de solutés glucosés
C. La restauration de la volémie se fait à l’aide de solutés hypotoniques
D. La transfusion du patient n’est pas nécessaire
E. Il est primordial de monitorer le calcium en cas de transfusion massive de culots globulaires de manière à éviter une hypocalcémie
Question 12 Le score de Glasgow :
A. Le score de Glasgow est utilisé pour évaluer la gravité d’un traumatisme crânien
B. L’utilisation du score de Glasgow est suffisante pour évaluer l’importance d’un traumatisme crânien
C. Le score de Glasgow s’établit sur 25 points
D. Le score de vigilance évalue, entre autres, l’ouverture des yeux
E. Un patient qui n’a aucune réactivité verbale, oculaire ou motrice à un score de Glasgow inférieur à 5
Question 13 Chez un patient opéré du membre inférieur, certains signes peuvent apparaître et doivent faire suspecter un accident thromboembolique :
A. Une douleur du mollet
B. Une douleur du mollet majorée en dorsiflexion de la cheville
C. Un bilan sanguin perturbé
D. Une fièvre à 40°C
E. Une tachycardie
Question 14 La chute :
A. La prévalence des chutes est plus importante après 85 ans
B. L’incidence et la prévalence des chutes augmentent, entre autres, avec la polymorbidité
C. Le sexe féminin est un facteur prédisposant à la chute
D. L’institutionnalisation permet de faire diminuer le nombre de chute
E. Après une première chute, les risques de chutes sont x5
Question 15 Une chute sur la main peut provoquer :
A. Une luxation du coude
B. Des fractures du poignet
C. Une fracture de la tête radiale
D. Une fracture du coude
E. Une fracture de la clavicule
Question 16 Une fracture de la clavicule :
A. Peut être la conséquence d’une chute sur le moignon de l’épaule
B. Peut s’accompagner de lésions cutanées
C. Est une fracture généralement bénigne
D. N’est jamais accompagnée de lésions vasculo-nerveuses
E. Nécessite un traitement orthopédique
Question 17 Parmi les plaies mentionnées ci-après, lesquelles sont des plaies aiguës ?
A. Les escarres
B. Les brûlures
C. Les gelures
D. Les morsures
E. Les plaies du diabétique
Question 18 Parmi les plaies mentionnées ci-après, lesquelles sont des plaies traumatiques ?
A. Les greffes de peau
B. Les excisions
C. Les dermabrasions
D. Les coupures
E. Les dilacérations
Question 19 Parmi les plaies mentionnées ci-après, lesquelles sont des plaies chroniques ?
A. La gangrène artéritique
B. L’ulcère veineux
C. L’incision
D. La radionécrose
E. L’amputation
Question 20 Parmi les facteurs cités ci-après lesquels influence la cicatrisation ?
A. Les caractéristiques du traumatisme à l’origine de la plaie
B. L’hydratation de la plaie
C. La vascularisation de la plaie
D. Le degré de contamination de la plaie
E. Le tabagisme
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