Cours IFSI
Les médicaments de la schizophrénie sur vidal.fr
Les médicaments psychotropes sur solidarite-sante.gouv.fr
Méga guide pharmaco infirmier, Laurent Chouchana, 2016, Elsevier Masson
Pharmacie et surveillance infirmière, Denis Stora, 2008, Éditions Lamarre
Pharmacologie et mode d’action des neuroleptiques sur em-consulte.com
Réussir toute la pharmacologie et thérapeutiques, 2019, Vuibert
Syndrome malin des neuroleptiques sur msdmanuals.com
Mis à jour le 31/01/2022
Les neuroleptiques (ou antipsychotiques) sont prescrits généralement pour réduire l’agitation et prévenir l’activité mentale délirante avec confusion, délire ou agressivité. Certains sont également prescrits pour la prévention des nausées et vomissements.
Les neuroleptiques agissent pour la plupart en bloquant les récepteurs de la dopamine (certains agissent également sur les récepteurs de la sérotonine ou de la noradrénaline).
Ils ont plusieurs actions :
Neuroleptiques de 1e génération
Neuroleptiques de 2e génération
Neuroleptiques “cachés” : Dompéridone (Droleptan®), Métopimazine (Vogalene®), Métoclopramide (Primperan®)
Psychiatriques : psychoses aiguës, schizophrénie, délires chroniques non schizophrènes, névroses graves, troubles caractériels des psychopathes, éthylisme, états d’agitation et d’agressivité, accès maniaques, psychoses hallucinatoires chroniques, insomnies rebelles
Non psychiatriques : affections psychosomatiques, nausées/vomissements dans le traitement anticancéreux, douleurs intenses, hoquet persistant, syndrome Gilles de la Tourette
Allergie connue
Troubles du rythme cardiaque : tachycardie, bradycardie, collapsus, allongement du QT
Glaucome, adénome de la prostate, porphyries
Neurologiques : syndrome extrapyramidal (mouvements involontaires, dyskinésie), diminution du seuil épileptogène avec un risque de crise convulsive
Anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, confusion et troubles de l’accommodation oculaire, mydriase
Psychiques : sédation, passivité, réactions paradoxales et inversion de l’humeur, réactions anxieuses et délirantes, somnolence, indifférence affective, dépression
Métaboliques et endocriniens : diabète, dyslipidémie, prise de poids, dysrégulation thermique, gynécomastie, aménorrhée, galactorrhée, troubles de la libido et impuissance
Cardiovasculaires : hypotension orthostatique, tachycardie, trouble de la repolarisation avec allongement du segment ST avec un risque d’arythmie
Hématologiques : leucopénie, agranulocytose
Oculaires : dépôts pigmentaires
Cutanés : photosensibilisation, réaction cutanée allergique, sécheresse cutanée
Neurologiques : syndrome extrapyramidal (mouvements involontaires, dyskinésie), diminution du seuil épileptogène avec un risque de crise convulsive
Anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, confusion et troubles de l’accommodation oculaire, mydriase
Psychiques : sédation, passivité, réactions paradoxales et inversion de l’humeur, réactions anxieuses et délirantes, somnolence, indifférence affective, dépression
Métaboliques et endocriniens : diabète, dyslipidémie, prise de poids, dysrégulation thermique, gynécomastie, aménorrhée, galactorrhée, troubles de la libido et impuissance
Cardiovasculaires : hypotension orthostatique, tachycardie, trouble de la repolarisation avec allongement du segment ST avec un risque d’arythmie
Hématologiques : leucopénie, agranulocytose
Oculaires : dépôts pigmentaires
Cutanés : photosensibilisation, réaction cutanée allergique, sécheresse cutanée
Un ECG est à faire en début de traitement
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Parmi ces propositions concernant les neuroleptiques, lesquelles sont vraies ?
Quelles sont les différentes actions des neuroleptiques ?
Quelles peuvent être les indications des neuroleptiques ?
Quelles sont les contre-indications des neuroleptiques ?
Quels peuvent être les effets indésirables des neuroleptiques ?
Quels sont les signes du syndrome malin des neuroleptiques ?
Parmi les propositions suivantes concernant les neuroleptiques, cochez les réponses exactes : (Février 2017 – Université Paris Descartes)
Indiquer la seule réponse juste parmi ces propositions concernant les neuroleptiques de nouvelle génération (= antipsychotiques atypiques) : (Août 2015 – Université Paris Descartes)
Indiquez la réponse exacte. Parmi les symptômes suivants, lequel doit conduire à un arrêt immédiat des traitements neuroleptiques ? (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Indiquez les réponses exactes. Le traitement par neuroleptique peut entraîner un ou plusieurs des phénomènes suivants : (Janvier 2017 – Université Paris Descartes)
Les neuroleptiques sont utilités pour traiter : (3 réponses) (Janvier 2018 – Université Paris Sud)
Le syndrome malin des neuroleptiques : (4 réponses) (Janvier 2018 – Université Paris Sud)
Les effets secondaires possibles des neuroleptiques sont : (4 réponses) (Janvier 2018 – Université Paris Sud)
Les neuroleptiques (ou antipsychotiques) sont prescrits généralement pour réduire l’agitation et prévenir l’activité mentale délirante avec confusion, délire ou agressivité. Certains sont également prescrits pour la prévention des nausées et vomissements.
Les neuroleptiques agissent pour la plupart en bloquant les récepteurs de la dopamine (certains agissent également sur les récepteurs de la sérotonine ou de la noradrénaline).
Ils ont plusieurs actions :
Neuroleptiques de 1e génération
Neuroleptiques de 2e génération
Neuroleptiques “cachés” : Dompéridone (Droleptan®), Métopimazine (Vogalene®), Métoclopramide (Primperan®)
Psychiatriques : psychoses aiguës, schizophrénie, délires chroniques non schizophrènes, névroses graves, troubles caractériels des psychopathes, éthylisme, états d’agitation et d’agressivité, accès maniaques, psychoses hallucinatoires chroniques, insomnies rebelles
Non psychiatriques : affections psychosomatiques, nausées/vomissements dans le traitement anticancéreux, douleurs intenses, hoquet persistant, syndrome Gilles de la Tourette
Allergie connue
Troubles du rythme cardiaque : tachycardie, bradycardie, collapsus, allongement du QT
Glaucome, adénome de la prostate, porphyries
Neurologiques : syndrome extrapyramidal (mouvements involontaires, dyskinésie), diminution du seuil épileptogène avec un risque de crise convulsive
Anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, confusion et troubles de l’accommodation oculaire, mydriase
Psychiques : sédation, passivité, réactions paradoxales et inversion de l’humeur, réactions anxieuses et délirantes, somnolence, indifférence affective, dépression
Métaboliques et endocriniens : diabète, dyslipidémie, prise de poids, dysrégulation thermique, gynécomastie, aménorrhée, galactorrhée, troubles de la libido et impuissance
Cardiovasculaires : hypotension orthostatique, tachycardie, trouble de la repolarisation avec allongement du segment ST avec un risque d’arythmie
Hématologiques : leucopénie, agranulocytose
Oculaires : dépôts pigmentaires
Cutanés : photosensibilisation, réaction cutanée allergique, sécheresse cutanée
Accident majeur pouvant engager le pronostic vital du patient traité par neuroleptiques
Survient le plus souvent dans les 2 semaines suivant l’introduction ou le changement de posologie d’un neuroleptique
Signes : hyperthermie, sueurs profuses, rigidité musculaire généralisée, rhabdomyolyse, tremblements, incontinence, altération de la conscience pouvant aller jusqu’au coma, dysautonomie (tachycardie, tachypnée, instabilité cardio-vasculaire)
Nécessite un arrêt immédiat du neuroleptique
Un ECG est à faire en début de traitement
Surveillance
Sources:
Mis à jour le 31/01/2022
Auteur : Julie VIOLET
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