A. Un syndrome délirant paranoïde
B. La survenue iatrogène des symptômes
C. La désorganisation du comportement
D. Un début généralement après 50 ans
E. Un syndrome déficitaire

A. Trouble obsessionnel compulsif
B. Schizophrénie
C. Confusion mentale
D. Maladie d’Alzheimer
E. Syndrome de stress post-traumatique

A. L’obésité morbide
B. Un sentiment de culpabilité après la prise alimentaire
C. Des vomissements provoqués suivant la prise alimentaire
D. Une hypertrophie parotidienne
E. Un sentiment de perte de contrôle

A. Tremblements
B. Sueurs
C. Agitation
D. Constipation
E. Crise convulsive

A. Une confusion mentale
B. Un trouble psychiatrique
C. Un fécalome
D. Une déshydratation
E. Un trouble neurologique

A. Insomnie
B. Irritabilité
C. Diminution de la libido
D. Anhédonie
E. Théâtralisme

A. Antidépresseurs
B. Antalgiques de niveau 1
C. Amphétamines
D. Neuroleptiques
E. Benzodiazépines

A. Des infractions au code de la route
B. Un isolement social
C. Une amélioration des performances professionnelles
D. Une hépatopathie
E. Des violences conjugales

A. Cour ou grimpe partout
B. A du mal à organiser ses travaux ou ses activités
C. A une lecture des mots inexacte
D. Fait preuve de cruauté envers des personnes
E. Parle souvent trop

A. Les neuroleptiques
B. Les patchs nicotiniques
C. Les antidépresseurs ISRS
D. Les benzodiazépines
E. Les psychothérapies cognitivo-comportementales

A. Peut induire des idées suicidaires
B. Fait partie de l’évaluation systématique
C. Peut améliorer l’alliance thérapeutique
D. Doit être associée à un dosage de CRP
E. Permet d’éviter un passage à l’acte

A. Un intérêt particulier pour l’ordre et le rangement
B. Une réduction du temps de sommeil sans fatigue
C. Des comportements sexuels à risque
D. Une baisse de l’estime de soi
E. Des idées délirantes

A. Correspond à la manifestation d’allure organique d’un conflit intrapsychique
B. Le patient est conscient de l’origine psychologique du trouble
C. Peut induire chez les soignants des réactions contre-transférentielles négatives
D. Est une forme de simulation
E. Nécessite d’être pris en charge avec empathie, neutralité et bienveillance

A. N’est pas un facteur de risque d’acte violent ou criminel
B. Est un trouble mental qui débute souvent chez l’adulte jeune
C. Est souvent associé à un défaut de conscience du trouble
D. Est améliorée par les neuroleptiques
E. Ne peut pas être une indication à une hospitalisation sous contrainte

A. Sont des pathologies souvent rapidement diagnostiquées
B. Sont les premières causes d’incapacité dans le monde en 2030
C. Entrainent une souffrance marquée ou entravent le fonctionnement socio-professionnel
D. Peuvent aggraver le pronostic des comorbidités
E. Sont toujours causés par des facteurs environnementaux

A. Des cauchemars à répétition
B. Des conduites d’évitement
C. Des compulsions
D. Une hyper-activation neurovégétative
E. Une agoraphobie

A. Mettre le patient dans une chambre proche du poste de soins
B. Faire un inventaire régulier des effets personnels
C. Donner ses vêtements personnels au patient pour plus d’intimité
D. Retirer tous les câbles ou cordons à la disposition du patient
E. Ne pas venir voir le patient trop souvent pour éviter d’être intrusive

A. Avancer l’heure du coucher
B. Adopter un horaire régulier de lever et de coucher
C. Faire des siestes dans la journée
D. Éviter la caféine, l’alcool et la nicotine
E. Pratiquer un exercice physique le soir

A. Est souvent accompagnée d’un état d’agitation motrice
B. Peut survenir dans le cadre d’un état de stress post-traumatique
C. Survient toujours de manière réactionnelle à l’exposition à une situation de stress
D. Peut-être caractérisée par la présence de cognitions «catastrophistes»
E. Peut survenir de manière isolée

A. Episode dépressif caractérisé résistant aux antidépresseurs
B. Trouble de la personnalité borderline
C. Trouble anxieux généralisé
D. Episode dépressif avec caractéristiques mélancoliques
E. Episode maniaque résistant aux psychotropes

A. Leur fréquence est de 150 000 à 200 000 par an en France
B. Elles concernent plus souvent les hommes
C. Le risque de récidive est faible
D. Il s’agit majoritairement d’intoxications médicamenteuses volontaires
E. Elles sont un facteur de risque de suicide

A. Les anxiolytiques
B. Les thymorégulateurs
C. Le antipsychotiques
D. La psychothérapie cognitive-comportementale
E. Les antidépresseurs

A. L’épisode maniaque
B. L’agoraphobie
C. Le trouble déficit de l’attention avec hyperactivité
D. Le trouble bipolaire
E. Le trouble de la personnalité histrionique

A. La schizophrénie
B. Le syndrome délirant aigu
C. Le trouble de la personnalité obsessionnelle
D. L’addiction au tabac
E. La mélancolie délirante

A. ECG
B. CRP
C. EEG
D. Bilan hépatique
E. Fonction rénale

A. Est une urgence vitale
B. Survient après la prise d’un antipsychotique
C. Comprend une fièvre
D. Comprend forcément un érythème cutané
E. Comprend une rigidité

A. Dyslipidémie
B. Dysfonction sexuelle
C. Insuffisance rénale fonctionnelle
D. Dystonie
E. Syndrome extrapyramidal

Vous êtes infirmier en service de psychiatrie où M. T. est hospitalisé depuis 4 jours en Soins Psychiatriques à la demande d’un Tiers. Ce patient de 58 ans est marié, travaille comme responsable de secteur dans un grand laboratoire pharmaceutique et vit à son domicile avec son épouse, retraitée.

A l’admission, la femme de M. T. expliquait qu’il dormait peu depuis quelques semaines. Cela avait empiré les derniers jours où il ne dormait plus du tout, passant la nuit à effectuer des travaux, des réaménagements de décoration, des allers-retours, à grands renforts de bruit et sans aucune cohérence logique. Mme T. expliquait qu’elle n’en pouvait plus, que sa maison était devenue un chantier impensable, qu’elle n’osait plus dormir par peur de laisser son mari seul.
Par ailleurs, sa femme disait être inquiète pour sa santé car M. T a perdu du poids. Il est
« habituellement un bon mangeur » et ne se pose même plus pour boire, manger et encore moins dormir. Il lui disait qu’il n’en avait pas besoin.

Lors de votre arrivée dans le service à 7 heures, vous constatez que vos collègues tentent de refreiner ce monsieur qui déplace avec exaltation les fauteuils du coin détente. Il clame qu’il est « le génie de la décoration, le Michel Ange du millénaire » et ne semble pas pouvoir s’arrêter de bouger, ni de parler. M. T. passe d’un sujet à l’autre : « la déco est un ciel comme les oiseaux qui s’y posent… tu aimes le bleu, toi ?… Mon père était à l’usine de Sochaux… Comme un lion, grrr… ».

Lors des transmissions réalisées par vos collègues de nuit, vous apprenez que M. T. a été trouvé dénudé. Il tentait de rentrer dans la chambre de sa voisine. Les soignants l’ont raccompagné plusieurs fois dans sa chambre car il déambulait bruyamment dans les couloirs.
Il ne présente aucun signe d’agressivité. Il trouve le service « super sympa », appelle les soignants par des surnoms, mais ne comprend pas ce qu’il fait là. Il a tellement de projets en cours…

Associé à son traitement médicamenteux, le médecin prescrit le retrait des affaires personnelles et le port de tenue hospitalière.

A. Ambivalence – Déni – Inhibition
B. Compulsion – Barrage – Asthénie
C. Logorrhée –Tachypsychie – Agitation
D. Fuite des idées – Labilité de l’humeur – Hyperphagie
E. Excitation psychomotrice – Bradypsychie – Stéréotypies

A. Vous raccompagnez M. T. dans sa chambre en lui demandant de se reposer un peu
B. Vous distribuez le traitement du matin à M. T. avec un verre d’eau et vous surveillez activement la prise
C. Vous évaluez auprès des autres patients hospitalisés la gêne éventuellement occasionnée par M.T durant la nuit
D. Vous évaluez le risque d’auto-agressivité de M. T
E. Devant les signes cliniques de M. T., vous le conduisez en chambre d’isolement

A. Rappeler le cadre de soins, en lui disant qu’il ne sortira pas de sa chambre tant qu’il ne l’aura pas rangée
B. Rappeler le cadre de soins en insistant sur les règles de vie du service
C. Laisser M. T. exprimer sa créativité
D. Instaurer une relation de confiance, en lui proposant de ranger sa chambre avec lui
E. Rappeler le cadre de soins en élevant le ton afin que M. T. entende que vous ne pouvez pas tolérer un tel désordre

A. Que M.T reste propre et présentable dans sa tenue
B. Que M.T reprenne du poids et s’alimente correctement
C. Contenir le comportement de M.T pour qu’il ne soit pas une gêne pour les autres patients hospitalisés
D. Que M.T prenne conscience du caractère pathologique de son comportement
E. Réduire l’intensité des troubles du comportement de M.T

A. Le contraindre à boire
B. Lui proposer régulièrement sa boisson préférée, le café
C. Lui fournir des bouteilles d’eau
D. Demander une prescription médicale d’hydratation en perfusion sous-cutanée
E. L’inciter à boire toutes les heures

A. Orientation au CMP du secteur
B. Un projet de post-cure
C. Retour au domicile et reprise de l’activité professionnelle
D. Mise en place d’une sauvegarde de justice
E. Prise en soins en Hôpital de Jour