Durant mes stages, j’ai souvent été confronté à des situations ou les infirmières se retrouvaient avec une charge mentale amplifiée avec la covid-19. Elles parlaient souvent de manque de reconnaissance. A travers mes recherches, j’ai pu mettre en avant que la notion de bien-être au travail ne passe pas systématiquement pas la revalorisation salariale. D’autres facteurs entrent en compte suite au recul pris sur cette période pandémique et que les critères de qualité de vie au travail ont peut-être évolués et sont priorisés différemment… La cohésion d’équipe et la communication ont un impact direct sur le bien-être des professionnels au sein de leur service.
Ainsi, j’ai trouvé comme question de recherche : « En quoi la pandémie de la COVID 19 a-t-elle modifié les critères prioritaires de la qualité de vie au travail, en période de post COVID immédiat ? » avec comme hypothèses : « Si la cohésion d’équipe était renforcée dans les services en période post covid, alors les professionnels auraient une meilleure qualité de vie au travail. » Ainsi que : « Si les professionnels communiquaient davantage leurs ressentis sur les difficultés rencontrées au sein du service depuis la période de la Covid, alors ils se sentiraient mieux reconnus dans leur service. »
Pour y répondre, j’ai effectué onze entretiens qui m’ont permis de valider partiellement ma question de recherche.
Ainsi, à la suite de cette validation partielle, je vais finaliser mon mémoire avec deux perspectives d’actions professionnelles et une conclusion.
Covid-19 – Charge mentale – Reconnaissance – Qualité de vie au travail – Cohésion d’équipe